Il n'y a apparemment pas eu d'avertissement avant la suspension, a dit la personne derrière le compte, et pas plus de trolls russes que d'habitude, elle ne pense donc pas avoir été la cible d'une campagne de trolls. «Avant ces suspensions, la porte-parole [du ministère des Affaires étrangères] a parlé du compte Lavrov sur Facebook, et les médias russes ont écrit presque 100 articles sur le sujet».